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Un mois de septembre contrasté, finalement encore trop doux...
Malgré une dernière décade un peu fraîche, septembre 2019 est malgré tout le douzième mois de septembre le plus doux depuis 1961 avec 16,8° (moyenne 15,1° records 19,1° en septembre 2016 et 11,1° en septembre 1972). Mon maximum absolu a été de 29,5° (moyenne 26,9° records 32,3° en 2016 mais pas plus de 23° en septembre 1968, 1992, 1994, 1995 et 2001). Mon minimum absolu de 5,4° est normal (moyenne 5° records -1° en septembre 1972 mais pas moins de 10,3° en septembre 1999). J’ai noté 9 jours d’été (jour où la température atteint ou dépasse les 25°) comme en 1973 et 2005, c’est le sixième total le plus élevé (moyenne 4 records 14 en 2016, 13 en 1961 mais aucun à 11 reprises); en septembre 2016 et 2018 le thermomètre avait franchi le seuil des 30° à 3 reprises. Pas de brouillard en septembre cette année comme à 11 reprises, en moyenne il y en a 3 et le record est de 11 en 1965.
Pas d’orages non plus ce mois-ci (comme à 8 reprises, en moyenne il y en a 2 et le record est de 7 en septembre 1972). La dernière décade de septembre 2019 a été pluvieuse, de la pluie chaque jour plus les 7 et 8 septembre soit 12 jours en tout (moyenne 11 jours records 22 jours en septembre 1993 mais 4 jours seulement en septembre 1969); finalement il est tombé 52 mm (dont les 2/3 lors de la dernière décade), en moyenne en septembre (depuis 1993) il tombe 59 mm et les records sont de 123 mm en septembre 1993 et de 21 mm en 2011, 22 mm en 1996, 24 mm en 1997 et 2016).
La sécheresse aura donc sévi environ 4 mois (depuis la mi-mai), mais ses effets n’ont pas fini de se faire sentir. La quantité maximale de précipitations en 24h a été de 11,2 mm le 27, la rafale maximale de vent de 70,8 km/h le 30 et la pression atmosphérique a varié entre 1032 hpa le 13 et 1005 hpa le 29. Vendredi (Ch.H)
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